International, alternance, projets : à l’ESME, les Bachelors ne manquent pas de points forts

International, alternance, projets : à l’ESME, les Bachelors ne manquent pas de points forts

En plus d’être une école d’ingénieurs, l’ESME propose également aux bacheliers d’intégrer l’école pour suivre un Bachelor.

Spécialisés sur l’Internet of Things (les fameux objets connectés), la transition énergétique ou encore les transports éco-intelligents, ils ont été pensés pour permettre à leurs futurs diplômés d’intégrer directement le monde de l’entreprise sur des postes transverses de plus en plus demandés par les recruteurs. Un choix de formation désormais accrédité par la CTI (et donc accessible via la plateforme Parcoursup) qui séduit plus d’un étudiant et attire aussi des profils à la recherche d’un autre chemin pour se tourner vers l’ingénierie.

International, alternance, projets : à l’ESME, les Bachelors ne manquent pas de points forts

Si l’ESME, une école d’ingénieurs plus que centenaire et historiquement très proche des entreprises, a choisi de créer des Bachelors, c’est avant tout pour répondre à un réel besoin. « En échangeant avec de nombreuses entreprises, nous nous sommes rendu compte qu’elles étaient de plus en plus en demande d’ingénieurs, mais aussi de profils intermédiaires en bac+3 capables d’avoir une vision technique, explique Anne-Marie Anteblian, directrice d’ESME Expertises. Or, comme l’expertise technique fait partie de l’ADN de l’ESME, il nous a semblé important de pouvoir contribuer à trouver une solution ! »

La pratique et la curiosité comme portes d’entrée du Bachelor

L’objectif est alors clair pour l’ESME : concevoir des cursus en trois ans favorisant l’employabilité des étudiants en s’appuyant en grande partie sur la pratique et l’application concrète des connaissances. « Il y a énormément de rythme : les projets et travaux pratiques représentent à peu près 60 % de l’enseignement, poursuit Anne-Marie. Nos Bachelors s’adressent donc principalement à des profils qui aiment les projets, le travail en équipe et les challenges. Il faut avoir envie d’apprendre un peu différemment tout en construisant un réel socle scientifique. Si, en plus, on est curieux et ouvert d’esprit et que l’on aime l’informatique et les sciences, alors on a de grandes chances de trouver la formation faite pour soi ! »

Actuellement en dernière année, Maxence Chermain et Sami Bouchaib font justement partie de ces étudiants séduits par cette approche particulière. Attirés par l’ingénierie, mais pas ravis à l’idée de passer par les classes préparatoires « trop théoriques », ils ont vu dans ces Bachelors une belle opportunité de s’épanouir malgré tout dans un univers technique. « Je recherchais une école en informatique pour avoir le diplôme d’ingénieur sauf que je savais que je n’avais pas le niveau pour faire une prépa intégrée, confie ainsi Maxence, étudiant du Bachelor spécialisé en Cybersécurité des objets connectés. J’ai alors commencé à me renseigner sur un DUT ou quelque chose d’équivalent et c’est comme cela que j’ai découvert ce Bachelor qui, en plus de posséder ce côté plus pratique, me laisse aussi la possibilité de tenter d’intégrer le Cycle ingénieur par la suite. »

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Une expérience « pleine de surprises »

Au sein de l’ESME, les arrivants trouvent rapidement leurs marques grâce à la richesse de la vie étudiante (et le fameux week-end d’intégration) réunissant les apprenants des différents cursus, mais aussi grâce à la structure même du Bachelor comme le fait remarquer Sami qui a opté pour celui dédié aux transports éco-intelligents : « C’est une formation pleine de surprises dès la première année, avec beaucoup de projets. Et à peine le temps de finir ces derniers qu’on se retrouve déjà à l’étranger lors du semestre à l’international de 2e année – moi, j’étais à Vilnius, en Lituanie. On doit alors trouver des moyens de s’adapter, on découvre une autre culture et c’est très enrichissant. Et puis, en 3e année, on débute l’alternance en entreprise. Au final, c’est une formation courte mais très riche qui apporte plein de choses ! »

Un constat partagé par Maxence qui retient notamment son semestre à Prague en République tchèque (« c’était l’occasion d’avoir une autre vision de l’enseignement et des matières abordées »), les nombreux « petits projets électroniques » à mener « qui permettent de voir autre chose que les maths et la physique » et, surtout, sa découverte de l’entreprise. En effet, l’essence même des Bachelors de l’ESME tourne autour des stages et de l’alternance en 3e année. « Le but, c’est aussi d’apprendre par le métier et la connaissance terrain : on ne comprend jamais réellement un travail sans se confronter directement soi-même aux problématiques », précise Anne-Marie Anteblian.

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L’entreprise, encore et toujours

« C’est ma toute première expérience professionnelle, confie d’ailleurs Maxence, actuellement en poste en tant qu’administrateur système réseau chez la Banque Postale. C’est un tout nouveau monde : j’apprécie énormément le fait de me voir confier des tâches et de me dire que le travail de l’équipe dépend aussi de ce que je suis capable de réaliser. Ne pas vouloir pénaliser les autres te donne envie de t’impliquer encore plus, de donner tout ce que tu as, voire de faire peut-être même plus ! » Producteur de travaux en alternance dans une entreprise de BTP travaillant sur certains chantiers de la future ligne 15 du métro parisien, Sami est du même avis : « J’ai intégré une petite équipe et qui dit petite équipe, dit beaucoup de polyvalence : cela me permet de faire plusieurs métiers. Et même si, au début, il a fallu s’adapter à ce nouvel environnement où l’on retrouve beaucoup d’acronymes et de nouveaux termes, aujourd’hui, ça se passe bien ! »

À la sortie du Bachelor, les étudiants diplômés peuvent prétendre à de très nombreuses professions – administrateurs, architectes d’IoT ou en cybersécurité, développeurs IoT, techniciens sécurité, gestionnaires de parcs IoT…  – mais surtout à devenir les principaux acteurs d’un monde mouvant. « Dans 10 ans, avec l’essor de nouvelles technologies et de nouveaux secteurs, nous les retrouverons sûrement à des postes auxquels nous n’avons pas pensés », estime la directrice d’ESME Expertises. D’où l’intérêt de développer chez les étudiants à la fois de solides compétences techniques et ce qu’on appelle les « soft skills » pour leur permettre de s’adapter aux prochaines grandes révolutions industrielles. « Cela passe par des cours de communication orale, de français et d’anglais, de développement personnel, etc., poursuit Anne-Marie Anteblian. Si vous voulez travailler dans une équipe dans de bonnes conditions, vous devez d’abord vous connaître et savoir comment fonctionnent les autres ! » C’est pour ce travail de fond que ces Bachelors de l’ESME ont justement obtenu l’accréditation de la CTI. « C’est une fierté et une reconnaissance pour notre formation, mais aussi et surtout pour nos étudiants », se réjouit la responsable.

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